De dag gaat dood onder je vinger.
Poème des Poèmes, ch. 3 - Noces
1. Sur ma couche, dans les nuits, j’ai cherché celui qu’aime mon être.
Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé.
2. Je me lèverai donc, je tournerai dans la ville,
dans les marchés, sur les places.
Je chercherai celui qu’aime mon être. Je l’ai cherché mais ne l’ai pas trouvé.
3. Les gardes qui tournaient dans la ville m’ont trouvée.
« Celui qu’aime mon être, l’avez-vous vu ? »
4. De peu les avais-je dépassés que je trouvai celui qu’aime mon être.
Je l’ai saisi et ne le lâcherai pas
(vert. Chouraqui)
Plastiek nu zoals zoveel, of vodden.
Vreemd hoe je afdruk op de avond
zich verplaatst naar je sigaar, monddicht
en hoe je mond bij de rest van je gezicht
en hoe dat ooit zo dicht bij mij.
Ik sluit de ogen eigenhandig,
de mahonie-zetting van een geheugen.
Tijden schuiven in en uit elkaar en mensen.
Vreemd hoe je afdruk op de avond
zich verplaatst naar je sigaar, monddicht
en hoe je mond bij de rest van je gezicht
en hoe dat ooit zo dicht bij mij.
Ik sluit de ogen eigenhandig,
de mahonie-zetting van een geheugen.
Tijden schuiven in en uit elkaar en mensen.

1. Sur ma couche, dans les nuits, j’ai cherché celui qu’aime mon être.
Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé.
2. Je me lèverai donc, je tournerai dans la ville,
dans les marchés, sur les places.
Je chercherai celui qu’aime mon être. Je l’ai cherché mais ne l’ai pas trouvé.
3. Les gardes qui tournaient dans la ville m’ont trouvée.
« Celui qu’aime mon être, l’avez-vous vu ? »
4. De peu les avais-je dépassés que je trouvai celui qu’aime mon être.
Je l’ai saisi et ne le lâcherai pas
(vert. Chouraqui)